ARMAND MESTRAL
Air de la Calomnie
OPERA "LE BARBIER DE SEVILLE" – ROSSINI –

C’est ma mort que je préfère
Je me vends, ça sent la terre
Ni doucement, vous voyez calomnie
De rester trompé, trompé pendant 8 ans

Fiez vous en la maligne envie
Après dansez adroitement
Piano, piano, piano, piano
Piano par un léger murmure
L’absurde du sillon
Font plus d’une blessure
Et porte dans le cœur le feu, le feu de leur poison
Et porte dans le cœur le feu, le feu de leur poison

Demain les faits, ils cheminent, ils s’en vont
De bouche en bouche il est porté
Il répand de l’espérance
C’est un prodige en vérité
C’est en force ne l’arrête
C’est la foudre la tempête
C’est en force ne l’arrête
Ca fait faire de drôle d’idées
A sa garde nationale
A sa garde nationale

Et l’océan, pour diable
Et sans chorale éclate et tombe
Et la fête en jupon en tenue théâtrale
De la mort du sillon a donné le signal
Et la haine en jupon en tenue théâtrale
De la mort du sillon a donné le signal

Et l’on voit le pauvre diable
Menacé comme un coupable
Et l’on voit en vérité tomber calme et terrassé
Et l’on voit le pauvre diable menacé comme un coupable
Tout et calme de courage
Tomber, tomber, terrassé
Tout et calme de courage de tomber terrassé
Tout et calme de courage de tomber terrassé
Tomber terrassé
Tomber terrassé
Tomber terrassé

 

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