R Pour ceux qui n'ont pas eu la chance de découvrir ces photos sur le Net ...For unlucky people who didn't discovered these pictures on the web... 
Up
Razorama
Razorama_2007
Razorama_2008
Razorama_2009
Razorama_2010
Razorama_2011
Razorama-2012
Razorama_2013
Razorama_2014
Razorama_2015
Razorama_2016
Razorama_2017
Razorama_2018
Razorama_2019
Razorama_2020
Razorama_2021
Razorama_2022
Razorama_2023
Razorama_2024
Razorama_2025

 

 

Gallerie virtuelle 

 

RAZOLOGIE

RAZORART

RASIERBILD

 

 

 

sagstatter-1834

 

ernestine's bild art

 

 

 

emmanuel marot ( marotte)

alexander calder (rasoir d'avion)

lauri eloranta

plat à barbe gayraud 1942

medecine chest

shaving with baby (Geraint Jennings)

Death Wish 77 (Razorblade Cross) by Jerry Dreva

Dad’s Music Box ('E.R. Manalo)
 

Lame de Rasoir

the razor dreams (wouter suren)

© Oo 2002 copyleft

Philippe Perrin

 
     

Jacques Bouthoorn

Phil Roger - She Dices, She Slices

Arman

Accumulation of electric razors embedded in plexiglas, 1968
 

Picasso Nature morte au cuir à rasoir

blacker lindsay lohan

 

the blacker the berry

 

Flower girl

 

postcard

 

 

Razor flower by msstma

Xylo, Razor Blade, London

female torso in razor blades

Razor-clam shells stripped and varnished
Courtesy of Alexander McQueen

Lipi uses razor blades to symbolise the harsh and thoughtless means that are adopted to control women

Le street art peut être… supercalifragilisticexpialidocieux!

Sunil Gawde, Virtually Untouchable, 2007

Boy Punk

Gina pane

   

 

Décor, 2011-2012, Fil de fer, rasoirs, Collection François Pinault, © Adel Abdessemed, 
ADAGP Paris, 2012, Courtesy de l'artiste et de David Zwirner, New York/London

Ralston Crawford

1906-1978
PHOTOGRAM WITH HAND, RAZOR, AND GLASS OBJECT - 1947

Marcelle CAHN (1895-1981) SANS TITRE,
Technique mixte, pastels de couleurs, crayon, lame de rasoir coupé et gaze sur papier signé et daté en bas vers la droite "Marcelle Cahn, 63" 16 x 24,50 cm

 
     
JORN Asger, DEBORD Guy-Ernest. Mémoire. Structures portantes d�Asger Jorn. Paris, L�Internationale Situationniste s.d.(1959). In-4, br. Édition originale. La jaquette habituelle en papier de verre est remplacée ici par une jaquette originale de Michel Guet constituée d�un assemblage de lames de rasoir (Marilys, lames de qualité). 110 lames au total, tissées de fines lamelles de cuivre rouge sur un fond de toile noire.

Lucio FONTANA - « CONCETTO SPAZIALE », 1959 - (ATTESE) - Peinture sur toile

 

« Concetto spaciale » de 1959, est une composition où le geste en incisant la surface, crée des rythmes dynamiques parallèles qui fixent le regard. « Il s’agit de tourner le dos à l’usage des formes connues de l’art pour privilégier le développement d’un art fondé sur l’unité du temps et de l’espace ».
Sur des aplats homogènes, les interventions gestuelles élargissent le champ de la perception et confèrent à l’œuvre une dimension qui excède les productions de l’Art informel, du Tachisme ou de l’Art abstrait.
En dépassant le geste de la lacération, Lucio Fontana crée un sentiment de vide, d’austérité, d’absence que contrebalance une sensualité mystérieuse. Rouge incisé de deux fentes secrètes, suggestives, extatiques, vibrantes et voluptueuses. Tableau qui se présente comme un besoin de vie cosmique et dont le secret réside dans son traitement. A ceux qui avaient prédit la fin de la perspective en peinture avec l’apparition de l’abstraction, Fontana rétorque en créant des œuvres d’une grande force plastique, non soumises au rationnel, et qui vont jusqu’au seuil limite de la peinture dans une prise de conscience du néant.
« Concetto spaciale » est une œuvre vertigineuse à l’image des immensités galactiques. Tableau dont la chair incandescente est en contact avec les vies secrètes où contemplation et sérénité se donnent la main, matérialisant sous sa forme la plus poétique, le subjectif, l’inconnu et l’invisible.
LUCIO FONTANA (1899-1968) CONCETTO SPAZIALE, ATTESE 65-66 T 5 (1965) Peinture à l’eau sur toile, rouge, trois fentes Signé, titré et annoté au dos : l. Fontana / « Concetto Spaziale » / ATTESE / Faremo una / bella gita a Varese 27 x 35 cm Provenance: Lauro Müller Neto Extrait Germano Celant, Lucio Fontana Ambienti Spaziali Architecture Art Environnement.

 Lucio Fontana est né en 1899 à Rosario de Santa Fe, en Argentine. En 1927, il commence ses études de sculpture en Italie. Il expose ses travaux pour la première fois en 1930, à la Galleria Il Milione, à Milan. Au cours des dix années qui ont suivi, il partage son temps entre l’Italie et la France et collabore avec des peintres expressionnistes et abstraits. Il enseigne la sculpture à partir de 1940 à Buenos Aires. Il publie en 1946 son Manifesto blanco, dans lequel il développe sa théorie du spatialisme, concept qu’il a créé. Entre 1948 et 1949, Fontana va créer une série d’œuvres tournant autour du concept de l’espace. Cet ensemble sera qualifié de Spatial. À cette époque, l’artiste est fasciné par l’exploration de l’espace et développe sa fameuse théorie spatialiste. Cette théorie se base sur des réflexions autour de l’art, du temps, de l’espace et du futurisme. Ses œuvres vont alors aller au-delà des genres traditionnels comme la peinture et la sculpture, l’accent est mis sur l’idée, le mouvement, le geste et non plus la matière.

En 1947, Fontana retourne à Milan, où il cofonde le Movimento Spaziale, un mouvement lié à son concept d’unité du temps et de l’espace. La radicale nouveauté de cette recherche esthétique confère à l’artiste une renommée croissante. La consécration sur la scène artistique se confirme à la fin des années 50, alors que Fontana réalise les œuvres qui deviendront les plus emblématiques de son travail : les Concetto spaziale. Attesa/e (Concept spatial).

 Toiles monochromes, dont la surface est fendue une ou plusieurs fois à l’aide d’une lame de rasoir ou d’un cutter. Ce travail fait de lui un artiste mondialement réputé et sa participation à des expositions de grande ampleur s’intensifie, en Italie et à l’étranger. Iris Clert, l’une des plus importantes galeristes de l’époque à Paris, lui consacre en 1961 et en 1964, deux expositions personnelles, après celles d’Arman et d’Yves Klein. Fontana devient dès lors une figure artistique majeure. Il remporte en 1966, le Premier prix pour la peinture lors de la 33e édition de la Biennale de Venise et le MoMA de New York lui organise la même année une exposition. Lucio Fontana est décédé en 1968 à Comabbio, en Lombardie. 65-66 T5 Les très célèbres tableaux à entailles tagli de Fontana, sous-titrés par l’artiste Attese exposés pour la première fois à Milan en 1958, puis à Paris ( Galerie Stadler)puis à la Biennale de Sào Paulo en 1959 sont devenus emblématiques de l’ensemble de l’Œuvre de l’artiste. Les premières entailles apparaissent vers 1957 au milieu de multiples perforations et déchirures dans des peintures à l’encre sur toile inchiestri et dans des peintures sur papier carte. À partir de 1958, elles occupent seules la toile et caractérisent la rupture de Fontana avec la gestualité informelle de la période des buchi. Délaissant les gestes qu’on imagine nombreux et compulsifs des tableaux à perforations, Fontana adopte un geste net, purifié, réduit à l’essentiel, matérialisant de la manière la plus simple l’idée principale de son Œuvre, la quête de l’infini par les moyens de l’art. Fontana affirmera dans la revue Vanità en 1962 : Mes entrailles sont par dessus tout, une expression philosophique, un acte de foi dans l’infini, une affirmation de spiritualité. Quand je m’assois devant un de mes tagli … je me sens un homme libéré de l’esclavage de la matière, un homme qui appartient à la grandeur du présent et du futur. Il faut donc donner au terme Attesa un sens double pour désigner à la fois la concentration maximale de l’artiste dans la préparation de son geste et la contemplation par lui-même de la surface monochrome fendue comme image de l’infini. Dans le cas de Concetto Spaziale, Attese, il faut y voir l’extrême économie de moyens jointe à un extraordinaire raffinement de réalisation. Au-delà de l’évidente connotation érotique de l’œuvre suggérée par la couleur rouge, les fentes suggèrent l’origine du monde. Bibliographie : Enrico Crispolti, Lucio Fontana, catalogue raisonné des peintures,sculptures et environnements, Bruxelles, Éditions de laConnaissance, volume I et II, 2006, page 818, N° 65-66 T5. Enrico Crispolti, op. cit., 1986, volume II, page 628, reproduit. Lucio Fontana, catalogue de l’exposition du Musée National d’Art Moderne (13 Octobre 1987-11 Janvier 1988) Paris, Éditions du Centre Pompidou. Directeur : Bernard Blistène. Estimation : 600 000 € - 700 000 €

Elisabeth  DUJARRIC de LA RIVIÈRE [1929 ~ 2005]

 

MONA HATOUM (née en 1952) - High Relief, 1992 - Plaque en métal chromé, aimant, [...]

[courtesy Art belge et Contemporain chez Cornette de Saint Cyr Bruxelles]

Contemporary work, manga painting on wooden support in the shape of a razor blade by artist Adeline Calosci [Year: 2013]

Provenance: Adler Paris Art Gallery 150 x 76 cm

Adeline Calosci is a French visual artist born in St. Cloud in 1980. From a family in the theatre, she began studying drama at the age of 15 and proceeded the following decade at the Florent, the Aquaviva School and the Paris Conservatoire Superior d'Art Dramatique. During her career as an actress she worked with great directors such as Catherine Hiégel and George Lavaudant, before returning brie y to the Comédie-Française.

The Kinks :

How Dave Davies’

Slashed Amp Created Rock Distortion

YOU REALLY GOT ME

Stereo R1 70315

Side 1 2'13''

Rhino 1988 records inc. 2225 colorado ave. santa monica ca 90404

     
Stepanova, Varvara F. Collage sur papier. Monogrammé en bas à droite. Pas avant 1926. Dimensions de la feuille : 31 x 21,5 cm. Monté dans les coins supérieurs sous passe-partout et encadré sous verre.

Le collage de Varvara F. Stepanova (1894-1958) a été présenté lors des expositions suivantes : Constructivisme - Suprématisme. Trente ans d'avant-garde européenne. Cologne, Galerie Stolz, 1988/1989. n° 110 (avec illustration). - Rose fusionnel et tension noire. Œuvres du constructivisme d'Europe de l'Est provenant d'une collection privée allemande. Winterthur, Kunstmuseum, 2001. p. 42 (avec illustration). - Ecriture, signe, geste. Carlfriedrich Claus dans le contexte de Klee à Pollock. Chemnitz, Kunstsammlungen, 2005. n° 245 (avec illustration). - De Kandinsky à Tatlin. Le constructivisme en Europe. Schwerin/Bonn, Staatliches Museum/Kunstmuseum, 2006. p. 93 (avec illustration). - L'abstraction en Europe. Le choix d'un collectionneur allemand. Saint-Paul-de-Vence, Fondation Marguerite et Aimé Maeght, 2011. n° 38 (avec illustration). - Le constructivisme en Europe. De Malevitch à Kandinsky. Beijing, National Art Museum of China, 2012. n° 44 (avec illustration). - La révolution libère ses images. De Malevitch à Kandinsky. Münster, Kunstmuseum Pablo Picasso, 2014. n° 66 (avec illustration). - L'astratisme en Europe. Bard, Forte di Bard, 2015. p. 113 (avec illustration). - Une brève expertise signée de Jean-Claude Marcadé est disponible (Cologne, 24.11.1989), notée à la main au dos d'une photographie en noir et blanc de la présente œuvre, avec les dimensions indiquées de la feuille : 31 x 2 cm ( ?) x 21,5 cm. Celle-ci datait l'œuvre du milieu des années 1920 et identifiait le monogramme (cyrillique : "WS"). Le catalogue 1988/89 a suivi l'expertise de Marcadé, mais a daté l'œuvre de 1923. La référence au monogramme manque dans les catalogues à partir de 2006, la datation de la feuille a été corrigée à environ 1925. - En raison de la publicité pour les lames de rasoir utilisée comme partie du collage, une création de la feuille avant 1926 est à notre avis exclue. - La feuille est légèrement ondulée par l'humidité sur le bord droit jusqu'au milieu de la feuille, le bord gauche présente un très étroit manque, quelques traces de pliure sur le bord et quelques petites déchirures (jusqu'à environ 1 cm) dans les bords de la feuille, quelques éléments du collage sont brunis, le papier en revanche est à peine bruni. - Provenance (cf. cat. 2006) : Galerie Stolz, Cologne/Berlin ; collection Dr. Gerhard Cromme, Essen courtesy Berlin, Allemagne Nosbuesch & Stucke GmbH

Ecole du XIXe Le baptême de la Ligne dit aussi baptême de L'Equateur Huile sur toile marouflée sur carton fort. Hauteur : 28,5 cm. Largeur : 35 cm. Nos marins, réunis sur le gaillard d'arrière, sacrifient à ce rituel sous la férule du "Père La Ligne". courtesy INTERIEURS BRETONS 22190 Plérin

 Maurice Duval, dans son ouvrage "Les objets du rite : le baptême de la Ligne" (PUF) en fait ce résumé : "Depuis que les marins franchissent l'équateur, « la Ligne », ils ont instauré un rite de passage. Le principe de ce baptême est que, pour changer d'hémisphère, il convient d'en demander l'autorisation à Neptune, censé monter à bord pour la circonstance. Le personnage du dieu est joué par un matelot qui prend, d'une certaine manière, le commandement à bord." Il y cite le récit d'un de ces baptêmes au XIXe siècle : "Chaque néophyte fut assis sur la planche parée du pavillon au dessus de la cuve. Le coiffeur, pourvu d'une couronne hérissée de plumes, s'approcha de lui et lui barbouilla le visage d'un mélange de détestables ingrédients de cuisine à l'aide de son pinceau à barbe avant de le raser à l'aide du grand rasoir en bois. Un autre personnage vint ensuite avec la férule, frottée d'un côté de blanc d'Espagne et de l'autre de noir de fumée et lui appliqua sur les joues dont l'une devint noire et l'autre blanche. Puis, la planche sur laquelle il était assis fut subitement retirée et il se retrouva assis dans la cuve pleine d'eau de mer. Au même instant dix seaux d'eau, préparés à cet effet derrière l'autel, lui furent déversés sur la tête. (...) Après que tous les néophytes furent ainsi baptisés, des danses et des jeux eurent lieu, concomitants d'une généreuse distribution de vin."
     

Thanx to

Home Up

 

Copyright © 2003 ® [razorland55].       All rights reserved. Revised: 06/24/24