CHEVEUX PELE MELE

 

Tableaux en cheveux

 

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13 septembre 1941

Up
L'Art de se raser
mustache_cup
friser
Plat a barbe
Hair
Plate

 

 

 

 

 

Les 2 tableaux ci-dessus sont uniquement à l'échange. 

A la douce mémoire de Marie Crespin, en religion St Marthe, religieuse des soeurs de Nevers, décédée à l'âge de 23 ans, le 5 Août 1895

 

morceau de cheveux de NAPOLEON Bonaparte ( ref. 202 ) [owner ttrpg]

Un objet que tout passionné de NAPOLEON Bonaparte rêve de posséder . Il s'agit d'un morceau de cheveux de l'Empereur. C'est un morceaux de 2 ou 3 mm très fin mais que vous pourrez admirer pleinement avec une simple loupe. Certifié par Sotheby's , les cheveux proviennent du docteur O'Meara , chirurgien de L'Empereur sur l'île d'Elbe, et récupérés le 4 juillet 1817, comme le prouve le certificat . Je l'ai obtenu dans une galerie new-yorkaise spécialisée dans la collecte de documents de personnages illustres et historiques: lettres,, signatures, photos dédicacées, vêtements et cheveux etc... Ce bout provient d'un échantillon de plusieurs cheveux vendus à la célèbre salle des ventes Sotheby's Society" (www.manuscript.org/) qui est une institution reconnue dans le monde de la collection pour son sérieux. Dernier détail, le cheveux est inséré dans une petite relique de 5 cmsur3,5 en or 24 carats , le tout sur une magnifique illustration en couleur (21,5/28 cm) avec la reproduction des témoignages et certificats de l’objet .

 
Exceptionnel tableau entièrement exécuté en cheveux de différentes couleurs représentant une scène mythologique ,je pense "Acis et Galathée" C'est une pièce absolument remarquable d'une qualité parfaite,un véritable tableau au crayon... Admirez l'extrême finesse des visages ,des expressions,des détails,des plis des tuniques,des arbres ;regardez la grâce des personnages ,l'élégance du chien ,la démarche des personnages et pensez au travail considérable pour exécuter un travail comme celui-ci. Admirez aussi le temple dans le lointain fait en cheveux blonds pour donner une impression d'éloignement,c'est vraiment ravissant dans ses moindres détails. On trouve assez souvent des souvenirs d'amitié sur des personnes chères qui sont décédées, mais il y a a toujours un côté morbide avec des mausolées ,des saules pleureurs et toujours des noms et des dates pour se souvenir....

 

La ce n'est que délicatesse, gracieuseté et légèreté. Le fond du tableau se compose de différentes vitres peintes,pour former un fond et donner une profondeur,c'est pour cela qu'il est très fragile et lourd et que son envoi pour être sécurisé sera assez onéreux.

 

 

 

Le musée de la coiffure du célèbre Alexandre ,qui avait de nombreuses pièces fort diverses et intéressantes ne possédait pas de tableau de ce genre,et il est très rare d'en trouver de cette dimension: avec cadre : 46,5 x 37,5 cm sans cadre : 35 x 25 cm Il est signé FOYE et daté 1847.

 

 

Thanks to aquitaniantic (seller)

& stephantique (owner)

 

 

Debussy

 La Fille Aux Cheveux De Lin

Debussy  La Chevelure

Charles Baudelaire

La Chevelure (the Fleece)

Jascha Heifetz

 

Alfred Cortot

Michelangeli

Paintings: P. Renoir

Anna Moffo

Irène Joachim

Lia Origoni

Suzanne Danco

NAN MERRIMAN

Upshaw

Pierre Viala

MAUPASSANT La chevelure

rene vivien (75oip)

Chansons de Bilitis

Christa Ludwig

Théodore de Banville

Lotte Lehmann

Anna Netrebko

Rachel Yakar

     

Paris show untangles the history of women's hair.

   
     

LOUIS XVII MECHE DE CHEVEUX CHARLES LOUIS DE BOURBON RARE MECHE CHEVEUX LOUIS XVII NAUNDORFF

Karl Wilhelm de BOURBON NAUNDORFF Prétendant au trône de France en tant que Louis XVII

Hair of louis xvii wraps dowry they are extract carries the hair contained in this envelope are those which i cut with my own hand of the tete of fire the prince Charles louis of bourbon duke of Normandy delf on August 13, 1845

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Versailles, 27 mars 1785 ( ?) - Delft, 10 août 1845 Avec le "masque de fer," l'affaire Naundorff-Louis XVII est habituellement considérée comme l'une des plus grandes énigmes de l'histoire de France. Louis XVII, fils de Louis XVI et Marie-Antoinette, officiellement considéré comme mort en 1795, s'est-il évadé de la prison du Temple pour réapparaître quelques années plus tard sous le nom de Naundorff? Telle est la question. Le deuxième fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette, duc de Normandie, Dauphin de France (4 juin 1789), Prince Royal, fut, le 21 janvier 1793, date de l'assassinat de son père, reconnu roi de France par sa mère, sa sœur et sa tante depuis la prison du Temple. Il fut également reconnu roi de France par le Comte de Provence (18 janvier 1793 en Westphalie) puis par le Prince de Condé, par les chefs de l'Armée Catholique et Royale à Parthenay, par la Grande-Bretagne, la Sardaigne, l'Espagne, l'Autriche, la Prusse, la Russie et les États-Unis d'Amérique... Louis, séquestré, ne régna jamais dans les faits. Arraché à sa famille le 3 juillet 1793, l'enfant fut installé dans l'ancienne chambre de son père, à la prison du Temple, sous la garde du cordonnier Simon qui lui fit subir différents mauvais traitements et lui prodigua une éducation de petit "sans-culotte"... En janvier 1794, ce dernier abandonna ses fonctions, et Louis XVII fut cloîtré au deuxième étage de la tour. Après le 9 Thermidor, des conventionnels n'y trouvèrent qu'un enfant hébété qui serait décédé le 8 juin 1795, à l'âge de dix ans, d'une péritonite ulcérocaséeuse d'origine hématogène au cours d'une tuberculose disséminée chronique. Les partisans de Naundorff sont nombreux (dont Agathe de Rambaud, « attachée à la personne du dauphin », et qui l’a formellement reconnu). Ils brandissent des arguments qui ont ébranlé bien des hésitants. Il y aurait des centaines de témoins ayant jadis reconnu en Naundorff l'authentique Louis XVII. La famille Naundorff porte aujourd'hui légalement le nom de Bourbon. La tombe de Naundorff, en Hollande, porte l'inscription : "Louis XVII". Alain Decaux, André Castelot, de nombreux historiens, de France et d'ailleurs, ont construit leur gloire en explorant les méandres de ce mystère à rebondissements. Il existe également de nombreux détracteurs persuadés de l'imposture du dénommé Naundorff et de la réalité de la mort du petit roi à la date mentionnée par l'état civil. Des tests ADN effectués le 2 juin 1998 ne prouve rien nous savons que le coeur du premier dauphin a disparu et le coeur d ou l on a prelevé l adn est sans doute celui ci et pas celui de louis xvii car louis xvii n est pas mort au temple!!!!! trop de chose le prouve il est impossible que cela ne soit que des coincidences Il vécut d'abord à Berlin, à Spandau, puis à Brandebourg, où, en 1824, il eut des ennuis avec la justice prussienne, qui l'accusait d'être un faux-monnayeur, a tort!! Sorti de prison en 1828, Il publia les Mémoires du duc de Normandie (1831) et les Révélations sur l'existence de Louis XVII (1832). Après avoir tenté en vain de se faire recevoir, à Prague, par la duchesse d'Angoulême,sa sœur , il se rendit à Paris en 1834 pour intervenir dans le procès intenté à un autre faux dauphin, le duc de Richemont. En 1836, il assigna en justice la duchesse d'Angoulême, afin d'obtenir les biens revenant à Louis XVII ; il fut alors expulsé de France et ses papiers furent saisis par la police de Louis-Philippe. Naundorff s'établit à Delft, aux Pays-Bas, où il inventa une arme nouvelle qu'il vendit au ministère de la Guerre néerlandais. À sa mort, son acte de décès et son inscription furent libellés au nom de Louis XVII. Ses descendants saisirent de nouveau en vain la justice française en 1851 et 1874, et, en 1910, ils adressèrent une pétition au Sénat, qui n'eut pas plus d'effet. Un groupe de royalistes naundorffistes se constitua et eut pour organe le périodique "La légitimité (1883/1940)" Le Duc de Normandie, né le 27 mars 1785, LOUIS CHARLES, devenu Dauphin à la mort de son frère aîné LOUIS le 2 juin 1789, est déclaré Roi de France, LOUIS XVII, par sa mère la Reine MARIE-ANTOINETTE, le 21 janvier 1793, jour de la décapitation de son père le Roi LOUIS XVI. Il fut enfermé au Temple du 13 août 1792 au jour de sa " mort " officielle, le 8 juin 1795. En réalité, l’enfant enterré au cimetière Sainte Marguerite et qui correspond bien à celui autopsié au Temple, ne peut pas être LOUIS XVII: c'est un enfant ayant au moins quinze ans, dont le squelette aux membres trop longs et au thorax étroit est celui d’un scrofuleux (tuberculeux) depuis très longtemps. Or LOUIS XVII n’avait que 10 ans et sa mère disait qu’il ressemblait à un petit paysan plein de santé. Il n’y a évidemment pas de trace de cette sortie du Temple et de la (ou des) substitutions qui ont été nécessaires. Mais si tous les royalistes ont échoué, par contre BARRAS, maître du Temple et le gardien LAURENT étant un homme à lui avaient toutes les facilités pour réussir. BARRAS, le régicide, qui fut pensionné par LOUIS XVIII ! C’est seulement à partir 1810 que l'on peut suivre avec certitude la vie de celui à qui les polices d’état ont imposé le nom de Charles Guillaume NAUNDORFF, réputé né à Weimar en l775, brun aux cheveux noirs, alors, qu’il avait 10 ans de moins, et comme le Dauphin, était blond aux yeux bleus ! Jamais il n’a pu être trouvé de lieu de naissance à NAUNDORFF, pas plus à Weimar qu'en Prusse ou ailleurs. Il donne au chef de la Police de Berlin les preuves de sa véritable identité - qui ne lui seront jamais rendues- et ce Monsieur LECOQ lui remet un simple certificat de moralité qui lui suffira à être admis bourgeois successivement dans les villes de SPANDAU, de BRANDEBOURG et de CROSSEN où il exercera le métier d’horloger, sans produire d'acte de naissance, pas plus que pour son mariage en 1818 ! Ses lettres à LOUIS XVIII, à sa Sœur la duchesse d’Angoulême puis à CHARLES X et à tous les princes d’Europe restant sans réponse, il vient en France en 1833 et immédiatement cherche à rencontrer toutes les personnes qui l'ont connu enfant à la Cour. Plus de 53 personnes ont attesté qu’il était bien LOUIS XVII, dont Madame de RAMBAUD, qui fut sa femme de chambre de sa naissance à 1792, le ministre de la justice JOLY de FLEURY, le secrétaire de LOUIS XVI, Monsieur BREMOND, le ministre des affaires étrangères de MONCIEL, Monsieur et Madame MARCO de St HILAIRE, etc. Sa ressemblance d’attitudes avec LOUIS XVI en frappante. La forme de sa tête est celle de MARIE-ANTOINETTE. Sa mémoire qui est remarquable est celle du Dauphin, tant sur les personnes, les lieux, les choses, que les événements. Il attaque sa sœur, la duchesse d’Angoulême, en reconnaissance d’identité en 1836. Mais le gouvernement de LOUIS PHILIPPE, au lieu de le juger comme il le demande, le fait arrêter, fait saisir tous les documents qu'il a réunis pour ce procès - 202 documents, sans inventaire-, et après un mois de prison l'expulse en Angleterre… comme étranger ! De 1836 au début 1845, LOUIS XVII reste donc en Angleterre avec sa femme et ses huit enfants (dont deux y naissent), où il fait des recherches et met au point des inventions pyrotechniques. Il y subit une tentative d'assassinat au pistolet comme il en avait essuyé une en France, au poignard. Refusant qu’il rentre en France pour la démonstration de ses inventions, et ne voulant pas les vendre à l'Angleterre, il pense les vendre à la Suisse, mais ne pouvant passer par la France, passe par la Hollande où il débarque le 25 janvier 1845. L'avocat van BUREN, convaincu de son identité et de la valeur de ses inventions lui fait rencontrer les ministres de la guerre et de la marine, et, avec l’accord du roi GUILLAUME II de Hollande, un contrat mirifique lui est signé, achetant ses inventions et le faisant directeur d’un atelier de pyrotechnie à DELFT. Malheureusement il est pris de vomissements et après huit jours d’agonie où, dans son délire, il évoque son père Louis XVI mort par la guillotine, il décède le 10 août 1845. Sa veuve ayant refusé une autopsie, l'empoisonnement n’a pu être démontré. Toutefois, à la demande de ses fils, un examen du corps est effectué par les médecins militaires qui l'ont soigné. Ce qui révèle en particulier les traces d’inoculation au bras, en forme de triangle, comme le Dauphin, la cicatrice de la lèvre, due à la morsure d’un lapin blanc apprivoisé, les deux incisives inférieures qui avancent en " dents de lapin ", et surtout, une tache de mère, à l’intérieur de la cuisse gauche, que l’on appelait chez le Dauphin "le signe du St Esprit " car ressemblant à un oiseau plongeant tête en bas, les ailes déployées. En plus de ces caractéristiques communes avec le Dauphin, on relève les traces des deux attentats, sur les côtes et l'omoplate d'une part, et sur le bras gauche d’autre part. Tous ses descendants présentent des ressemblances étonnantes avec les BOURBON et les HABSBOURG. Enfin le Roi de Hollande GUILLAUME II permet son inhumation sous le nom de Duc de NORMANDIE, LOUIS XVII, Roi de France et de Navarre, où sa tombe est toujours visible, entretenue par la ville de DELFT, et la Hollande reconnaît à ses enfants le droit au nom de " de BOURBON " que tous ses descendants portent légalement.
Le 21-mai-06 à 16:12:26 Paris, le vendeur (riorgeois42) a ajouté les informations suivantes : Louis XVII est-il mort à la prison du Temple le 8 juin 1795 ? On ne peut en effet écarter à ce jour l'hypothèse selon laquelle l'enfant mort à la prison du Temple le 8 juin 1795 n'est pas Louis XVII - qui se serait évadé grâce à l'aide de royalistes ou même de républicains - mais un enfant plus âgé qui lui aurait été substitué. Les analyses ADN pratiquées en 2000 sur le cœur présumé de Louis XVII conservé à la basilique Saint-Denis, montrent seulement qu'il s'agit de celui d'un enfant apparenté par les femmes à Marie-Antoinette : si le cœur peut donc effectivement être celui de Louis XVII ; il peut aussi être celui du premier dauphin (son frère aîné) mort le 4 juin 1789. Il n'est en outre pas prouvé que le cœur analysé est bien celui qui fut prélevé par le docteur Pelletan lors de l'autopsie de l'enfant du Temple effectuée le 9 juin 1795. Ces différents cœurs ont en effet chacun eu un parcours mouvementé. On sait qu'en 1793, sous la Terreur, l'abbaye du Val-de-Grâce où se trouvaient les cœurs de plusieurs enfants royaux enchâssés dans des boîtes de plomb enfermées dans des boîtes en vermeil, fut profanée. Les boîtes furent fondues et les cœurs jetés à la voirie. Celui du fils aîné de Louis XVI échappa à la profanation grâce au citoyen Legoy, fut transmis en 1817 au maire du XIIe arrondissement de Paris, puis confié à la bibliothèque de l'archevêché de Paris, avant la mise à sac de ce dernier en 1830. Quant au cœur de l'enfant du Temple, il fut dans un premier temps conservé par le docteur Pelletan qui, en 1828, le déposa également à l'archevêché, avant de mourir en 1829. Lors du sac de cet archevêché le 29 juillet 1830, la bibliothèque aurait ainsi abrité le cœur du premier Dauphin, et le cœur de l'enfant du Temple (supposé être celui de Louis XVII). Cette date marque le début d'une succession de péripéties et de confusions. En effet Pierre Pelletan, fils légitime du docteur, habitant à quelques pas de l'archevêché, se rendit sur place quelques heures après le sac et retrouva la boîte en plomb abritant le cœur du frère aîné de Louis XVII. Mais c'est le fils naturel du docteur, Philippe-Gabriel Pelletan, qui, recevant un paquet d'un certain Lescroart, ouvrier-imprimeur ayant retrouvé sur les lieux du sac le Mémoire du chirurgien, s'y serait lui aussi rendu le 6 août suivant, et aurait découvert sur un tas de sable le cœur de l'enfant du Temple avec les débris de l'urne qui le contenait. Les deux frères étant brouillés et n'ayant plus aucun contact depuis la succession de leur père en 1829, Pierre ne sut pas que Philippe-Gabriel possédait les restes de l'urne, le cœur prélevé par son père en 1795, ainsi que le Mémoire du docteur. La découverte de ces deux cœurs après le sac de l'archevêché, par deux personnes différentes, chacune ignorant la découverte de l'autre, sera à la source de moult méprises et témoignages contradictoires. On pensa même longtemps avoir perdu la trace du cœur pourtant retrouvé par Pierre Pelletan en 1830. Si sa découverte après le pillage est consignée dans l'Aveyron Républicain daté du 2 décembre 1892, l'article s'appuie sur un « témoignage paru dans la Gazette Médicale », sans mention de date ni d'auteur. Les gazettes médicales étant nombreuses, on ne parvint à retrouver ce témoignage qu'en 2002, dans la Gazette médicale de Paris de 1891. Lorsque Pierre Pelletan mourut de tuberculose le 12 août 1845, il avait déjà entrepris des démarches auprès des Bourbons pour leur céder le cœur qu'il détenait. Elles furent poursuivies par son fils adoptif Jules, qui mourut en 1873, laissant un fils qu'il maudissait et un testament dans lequel on peut lire : « Ma malédiction paternelle lui a été infligée, et je la confirme ici, dans L'urne remise à don Carlos en 1895, contenant le coeur présumé de Louis XVII. Au fond, morceaux de l'urne de Pelletan. cet écrit destiné à me survivre ». Le cœur aurait pourtant finalement été transmis au comte de Chambord (mort en 1883), si l'on se réfère à une lettre datée du 17 octobre 1885 écrite par le père Bole, confesseur du comte, précisant que ce Prince avait reçu le cœur du « reliquaire de M. Martin » trouvé par Pierre Pelletan. Lorsque Philippe-Gabriel Pelletan mourut en 1879, son exécuteur testamentaire s'adressa à Barrande, administrateur des biens du comte de Chambord, auquel il transmit l'ancien Mémoire du docteur Pelletan père, afin de proposer au Prince ce qu'il affirmait être le « cœur de son cousin ». Barrande répondit que ces « témoignages sont bien indispensables pour contrebalancer les impressions fâcheuses causées par les incidents extraordinaires qui ont troublé la continuité de leur précieux dépôt ». Le comte mourut en 1883 sans avoir donné son accord pour recevoir le « cœur Pelletan » de Philippe-Gabriel (mais il possédait celui découvert par Pierre). C'est seulement en 1895 que don Carlos, neveu de la comtesse de Chambord, en prit possession, emmenant sans doute l'urne au château de Frohsdorf, en Autriche, où le comte avait résidé jusqu'à sa mort. Ainsi, les descendants du comte de Chambord détenaient à la fin du XIXe siècle les deux cœurs trouvés par les frères Pelletan : celui du premier Dauphin, et celui de l'enfant mort au Temple. A la mort de don Carlos en 1909, c'est son fils don Jaime qui hérita de Frohsdorf et en laissa la propriété lors de son décès en 1931 à sa troisième sœur Marie-Béatrice. En 1975, les descendantes de celle-ci décidèrent de donner à la France le cœur prélevé le 9 juin 1795 sur l'enfant du Temple supposé être Louis XVII, et l'urne fut remise en avril de cette même année au Mémorial de France à Saint-Denis. C'est le cœur qu'elle contient, dont on ne peut affirmer qu'il s'agit de celui que le docteur Pelletan préleva sur l'enfant du Temple, qui fut analysé en 2000. Notons enfin que lorsqu'en 1894 furent exhumés les restes de l'enfant mort au Temple et enterré au cimetière Sainte-Marguerite à Paris, les médecins affirmèrent qu'il s'agissait d'un enfant d'au moins quatre ans plus âgé que ne l'était Louis XVII. La preuve que l'enfant mort à la prison du Temple le 8 juin 1795 était le jeune Louis XVII, n'est donc toujours pas établie.

 

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Empire BROSCHE Haar DENKMAL Klassizismus um 1800 Grab

A la mémoire de Sophie, Albertine, Alexander, Leopoldine

Höhe ca 40 mm silbervergoldete Fassung mit feinster Haararbeit auf Elfenbeinplättchen hinter Glas gerahmt, ursprünglich über ein Scharnier zu öffnen siehe Bild. Altersbedingt sehr guter Zustand siehe Photos. Die für ihre Art ganz ungewöhnlich plastische Haararbeit der Brosche zeigt ein Denkmal in Urnenform neben einem Baum in weiter Landschaft. Vor der Urne befindet sich ein wappenförmiges Schild mit aufgemaltem T. Ob es sich hier um einen Trauer- oder Freundschaftsschmuck handelt ist ohne den leider nicht gegebenen Kontext nicht zu entscheiden. Ein ikonographisch ähnliches, aber qualitativ deutlich schlechter gearbeitetes Vergleichsstück findet sich im Ausstellungskatalog Trauerschmuck vom Barock bis zum Art Deco, Museum für Sepulkralkultur Kassel 1995, Kat. Nr 49 siehe Bilder [ thanks to fachundsachkundig]
 
courtesy of amiral27

( un très grand merci à JP )

ALBUM DU DESSINATEUR EN CHEVEUX LITHOS du XIX em

Tres vieil album de planches lithographies.

42 bld Voltaire Paris ?

 

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