Les 2
tableaux ci-dessus sont uniquement à l'échange.
A la
douce mémoire de Marie Crespin, en religion St Marthe, religieuse des
soeurs de Nevers, décédée à l'âge de 23 ans, le 5 Août 1895
morceau
de cheveux de NAPOLEON Bonaparte ( ref. 202 )
[owner ttrpg]
Un objet que tout
passionné de NAPOLEON Bonaparte rêve de posséder . Il s'agit d'un
morceau de cheveux de l'Empereur. C'est un morceaux de 2 ou 3 mm très
fin mais que vous pourrez admirer pleinement avec une simple loupe.
Certifié par Sotheby's , les cheveux proviennent du docteur O'Meara ,
chirurgien de L'Empereur sur l'île d'Elbe, et récupérés le 4 juillet
1817, comme le prouve le certificat . Je l'ai obtenu dans une galerie
new-yorkaise spécialisée dans la collecte de documents de personnages
illustres et historiques: lettres,, signatures, photos dédicacées,
vêtements et cheveux etc... Ce bout provient d'un échantillon de
plusieurs cheveux vendus à la célèbre salle des ventes Sotheby's
Society" (www.manuscript.org/) qui est une institution reconnue dans le
monde de la collection pour son sérieux. Dernier détail, le cheveux est
inséré dans une petite relique de 5 cmsur3,5 en or 24 carats , le tout
sur une magnifique illustration en couleur (21,5/28 cm) avec la
reproduction des témoignages et certificats de l’objet .
Exceptionnel tableau entièrement exécuté en
cheveux de différentes couleurs représentant une scène mythologique ,je
pense "Acis et Galathée" C'est une pièce absolument remarquable d'une
qualité parfaite,un véritable tableau au crayon... Admirez l'extrême
finesse des visages ,des expressions,des détails,des plis des
tuniques,des arbres ;regardez la grâce des personnages ,l'élégance du
chien ,la démarche des personnages et pensez au travail considérable
pour exécuter un travail comme celui-ci. Admirez aussi le temple dans le
lointain fait en cheveux blonds pour donner une impression
d'éloignement,c'est vraiment ravissant dans ses moindres détails. On
trouve assez souvent des souvenirs d'amitié sur des personnes chères qui
sont décédées, mais il y a a toujours un côté morbide avec des mausolées
,des saules pleureurs et toujours des noms et des dates pour se
souvenir....
La ce n'est que délicatesse, gracieuseté et légèreté. Le
fond du tableau se compose de différentes vitres peintes,pour former un
fond et donner une profondeur,c'est pour cela qu'il est très fragile et
lourd et que son envoi pour être sécurisé sera assez onéreux.
Le musée de la
coiffure du célèbre Alexandre ,qui avait de nombreuses pièces fort
diverses et intéressantes ne possédait pas de tableau de ce genre,et il
est très rare d'en trouver de cette dimension: avec cadre : 46,5 x 37,5
cm sans cadre : 35 x 25 cm Il est signé FOYE et daté 1847.
LOUIS XVII MECHE
DE CHEVEUX CHARLES LOUIS DE BOURBON RARE MECHE CHEVEUX LOUIS XVII
NAUNDORFF
Karl
Wilhelm de BOURBON NAUNDORFF Prétendant au trône de France en tant
que Louis XVII
Hair of louis xvii
wraps dowry they are extract carries the hair contained in this
envelope are those which i cut with my own hand of the tete of fire
the prince Charles louis of bourbon duke of Normandy delf on August
13, 1845
[ref_lorecriv_451.00]
Versailles, 27 mars 1785 ( ?) - Delft, 10 août 1845 Avec le "masque
de fer," l'affaire Naundorff-Louis XVII est habituellement
considérée comme l'une des plus grandes énigmes de l'histoire de
France. Louis XVII, fils de Louis XVI et Marie-Antoinette,
officiellement considéré comme mort en 1795, s'est-il évadé de la
prison du Temple pour réapparaître quelques années plus tard sous le
nom de Naundorff? Telle est la question. Le deuxième fils de Louis
XVI et de Marie-Antoinette, duc de Normandie, Dauphin de France (4
juin 1789), Prince Royal, fut, le 21 janvier 1793, date de
l'assassinat de son père, reconnu roi de France par sa mère, sa sœur
et sa tante depuis la prison du Temple. Il fut également reconnu roi
de France par le Comte de Provence (18 janvier 1793 en Westphalie)
puis par le Prince de Condé, par les chefs de l'Armée Catholique et
Royale à Parthenay, par la Grande-Bretagne, la Sardaigne, l'Espagne,
l'Autriche, la Prusse, la Russie et les États-Unis d'Amérique...
Louis, séquestré, ne régna jamais dans les faits. Arraché à sa
famille le 3 juillet 1793, l'enfant fut installé dans l'ancienne
chambre de son père, à la prison du Temple, sous la garde du
cordonnier Simon qui lui fit subir différents mauvais traitements et
lui prodigua une éducation de petit "sans-culotte"... En janvier
1794, ce dernier abandonna ses fonctions, et Louis XVII fut cloîtré
au deuxième étage de la tour. Après le 9 Thermidor, des
conventionnels n'y trouvèrent qu'un enfant hébété qui serait décédé
le 8 juin 1795, à l'âge de dix ans, d'une péritonite ulcérocaséeuse
d'origine hématogène au cours d'une tuberculose disséminée
chronique. Les partisans de Naundorff sont nombreux (dont Agathe de
Rambaud, « attachée à la personne du dauphin », et qui l’a
formellement reconnu). Ils brandissent des arguments qui ont ébranlé
bien des hésitants. Il y aurait des centaines de témoins ayant jadis
reconnu en Naundorff l'authentique Louis XVII. La famille Naundorff
porte aujourd'hui légalement le nom de Bourbon. La tombe de
Naundorff, en Hollande, porte l'inscription : "Louis XVII". Alain
Decaux, André Castelot, de nombreux historiens, de France et
d'ailleurs, ont construit leur gloire en explorant les méandres de
ce mystère à rebondissements. Il existe également de nombreux
détracteurs persuadés de l'imposture du dénommé Naundorff et de la
réalité de la mort du petit roi à la date mentionnée par l'état
civil. Des tests ADN effectués le 2 juin 1998 ne prouve rien nous
savons que le coeur du premier dauphin a disparu et le coeur d ou l
on a prelevé l adn est sans doute celui ci et pas celui de louis
xvii car louis xvii n est pas mort au temple!!!!! trop de chose le
prouve il est impossible que cela ne soit que des coincidences Il
vécut d'abord à Berlin, à Spandau, puis à Brandebourg, où, en 1824,
il eut des ennuis avec la justice prussienne, qui l'accusait d'être
un faux-monnayeur, a tort!! Sorti de prison en 1828, Il publia les
Mémoires du duc de Normandie (1831) et les Révélations sur
l'existence de Louis XVII (1832). Après avoir tenté en vain de se
faire recevoir, à Prague, par la duchesse d'Angoulême,sa sœur , il
se rendit à Paris en 1834 pour intervenir dans le procès intenté à
un autre faux dauphin, le duc de Richemont. En 1836, il assigna en
justice la duchesse d'Angoulême, afin d'obtenir les biens revenant à
Louis XVII ; il fut alors expulsé de France et ses papiers furent
saisis par la police de Louis-Philippe. Naundorff s'établit à Delft,
aux Pays-Bas, où il inventa une arme nouvelle qu'il vendit au
ministère de la Guerre néerlandais. À sa mort, son acte de décès et
son inscription furent libellés au nom de Louis XVII. Ses
descendants saisirent de nouveau en vain la justice française en
1851 et 1874, et, en 1910, ils adressèrent une pétition au Sénat,
qui n'eut pas plus d'effet. Un groupe de royalistes naundorffistes
se constitua et eut pour organe le périodique "La légitimité
(1883/1940)" Le Duc de Normandie, né le 27 mars 1785, LOUIS CHARLES,
devenu Dauphin à la mort de son frère aîné LOUIS le 2 juin 1789, est
déclaré Roi de France, LOUIS XVII, par sa mère la Reine
MARIE-ANTOINETTE, le 21 janvier 1793, jour de la décapitation de son
père le Roi LOUIS XVI. Il fut enfermé au Temple du 13 août 1792 au
jour de sa " mort " officielle, le 8 juin 1795. En réalité, l’enfant
enterré au cimetière Sainte Marguerite et qui correspond bien à
celui autopsié au Temple, ne peut pas être LOUIS XVII: c'est un
enfant ayant au moins quinze ans, dont le squelette aux membres trop
longs et au thorax étroit est celui d’un scrofuleux (tuberculeux)
depuis très longtemps. Or LOUIS XVII n’avait que 10 ans et sa mère
disait qu’il ressemblait à un petit paysan plein de santé. Il n’y a
évidemment pas de trace de cette sortie du Temple et de la (ou des)
substitutions qui ont été nécessaires. Mais si tous les royalistes
ont échoué, par contre BARRAS, maître du Temple et le gardien
LAURENT étant un homme à lui avaient toutes les facilités pour
réussir. BARRAS, le régicide, qui fut pensionné par LOUIS XVIII !
C’est seulement à partir 1810 que l'on peut suivre avec certitude la
vie de celui à qui les polices d’état ont imposé le nom de Charles
Guillaume NAUNDORFF, réputé né à Weimar en l775, brun aux cheveux
noirs, alors, qu’il avait 10 ans de moins, et comme le Dauphin,
était blond aux yeux bleus ! Jamais il n’a pu être trouvé de lieu de
naissance à NAUNDORFF, pas plus à Weimar qu'en Prusse ou ailleurs.
Il donne au chef de la Police de Berlin les preuves de sa véritable
identité - qui ne lui seront jamais rendues- et ce Monsieur LECOQ
lui remet un simple certificat de moralité qui lui suffira à être
admis bourgeois successivement dans les villes de SPANDAU, de
BRANDEBOURG et de CROSSEN où il exercera le métier d’horloger, sans
produire d'acte de naissance, pas plus que pour son mariage en 1818
! Ses lettres à LOUIS XVIII, à sa Sœur la duchesse d’Angoulême puis
à CHARLES X et à tous les princes d’Europe restant sans réponse, il
vient en France en 1833 et immédiatement cherche à rencontrer toutes
les personnes qui l'ont connu enfant à la Cour. Plus de 53 personnes
ont attesté qu’il était bien LOUIS XVII, dont Madame de RAMBAUD, qui
fut sa femme de chambre de sa naissance à 1792, le ministre de la
justice JOLY de FLEURY, le secrétaire de LOUIS XVI, Monsieur
BREMOND, le ministre des affaires étrangères de MONCIEL, Monsieur et
Madame MARCO de St HILAIRE, etc. Sa ressemblance d’attitudes avec
LOUIS XVI en frappante. La forme de sa tête est celle de
MARIE-ANTOINETTE. Sa mémoire qui est remarquable est celle du
Dauphin, tant sur les personnes, les lieux, les choses, que les
événements. Il attaque sa sœur, la duchesse d’Angoulême, en
reconnaissance d’identité en 1836. Mais le gouvernement de LOUIS
PHILIPPE, au lieu de le juger comme il le demande, le fait arrêter,
fait saisir tous les documents qu'il a réunis pour ce procès - 202
documents, sans inventaire-, et après un mois de prison l'expulse en
Angleterre… comme étranger ! De 1836 au début 1845, LOUIS XVII reste
donc en Angleterre avec sa femme et ses huit enfants (dont deux y
naissent), où il fait des recherches et met au point des inventions
pyrotechniques. Il y subit une tentative d'assassinat au pistolet
comme il en avait essuyé une en France, au poignard. Refusant qu’il
rentre en France pour la démonstration de ses inventions, et ne
voulant pas les vendre à l'Angleterre, il pense les vendre à la
Suisse, mais ne pouvant passer par la France, passe par la Hollande
où il débarque le 25 janvier 1845. L'avocat van BUREN, convaincu de
son identité et de la valeur de ses inventions lui fait rencontrer
les ministres de la guerre et de la marine, et, avec l’accord du roi
GUILLAUME II de Hollande, un contrat mirifique lui est signé,
achetant ses inventions et le faisant directeur d’un atelier de
pyrotechnie à DELFT. Malheureusement il est pris de vomissements et
après huit jours d’agonie où, dans son délire, il évoque son père
Louis XVI mort par la guillotine, il décède le 10 août 1845. Sa
veuve ayant refusé une autopsie, l'empoisonnement n’a pu être
démontré. Toutefois, à la demande de ses fils, un examen du corps
est effectué par les médecins militaires qui l'ont soigné. Ce qui
révèle en particulier les traces d’inoculation au bras, en forme de
triangle, comme le Dauphin, la cicatrice de la lèvre, due à la
morsure d’un lapin blanc apprivoisé, les deux incisives inférieures
qui avancent en " dents de lapin ", et surtout, une tache de mère, à
l’intérieur de la cuisse gauche, que l’on appelait chez le Dauphin
"le signe du St Esprit " car ressemblant à un oiseau plongeant tête
en bas, les ailes déployées. En plus de ces caractéristiques
communes avec le Dauphin, on relève les traces des deux attentats,
sur les côtes et l'omoplate d'une part, et sur le bras gauche
d’autre part. Tous ses descendants présentent des ressemblances
étonnantes avec les BOURBON et les HABSBOURG. Enfin le Roi de
Hollande GUILLAUME II permet son inhumation sous le nom de Duc de
NORMANDIE, LOUIS XVII, Roi de France et de Navarre, où sa tombe est
toujours visible, entretenue par la ville de DELFT, et la Hollande
reconnaît à ses enfants le droit au nom de " de BOURBON " que tous
ses descendants portent légalement.
Le
21-mai-06 à 16:12:26 Paris, le vendeur (riorgeois42) a ajouté les
informations suivantes : Louis XVII est-il mort à la prison du
Temple le 8 juin 1795 ? On ne peut en effet écarter à ce jour
l'hypothèse selon laquelle l'enfant mort à la prison du Temple le 8
juin 1795 n'est pas Louis XVII - qui se serait évadé grâce à l'aide
de royalistes ou même de républicains - mais un enfant plus âgé qui
lui aurait été substitué. Les analyses ADN pratiquées en 2000 sur le
cœur présumé de Louis XVII conservé à la basilique Saint-Denis,
montrent seulement qu'il s'agit de celui d'un enfant apparenté par
les femmes à Marie-Antoinette : si le cœur peut donc effectivement
être celui de Louis XVII ; il peut aussi être celui du premier
dauphin (son frère aîné) mort le 4 juin 1789. Il n'est en outre pas
prouvé que le cœur analysé est bien celui qui fut prélevé par le
docteur Pelletan lors de l'autopsie de l'enfant du Temple effectuée
le 9 juin 1795. Ces différents cœurs ont en effet chacun eu un
parcours mouvementé. On sait qu'en 1793, sous la Terreur, l'abbaye
du Val-de-Grâce où se trouvaient les cœurs de plusieurs enfants
royaux enchâssés dans des boîtes de plomb enfermées dans des boîtes
en vermeil, fut profanée. Les boîtes furent fondues et les cœurs
jetés à la voirie. Celui du fils aîné de Louis XVI échappa à la
profanation grâce au citoyen Legoy, fut transmis en 1817 au maire du
XIIe arrondissement de Paris, puis confié à la bibliothèque de
l'archevêché de Paris, avant la mise à sac de ce dernier en 1830.
Quant au cœur de l'enfant du Temple, il fut dans un premier temps
conservé par le docteur Pelletan qui, en 1828, le déposa également à
l'archevêché, avant de mourir en 1829. Lors du sac de cet archevêché
le 29 juillet 1830, la bibliothèque aurait ainsi abrité le cœur du
premier Dauphin, et le cœur de l'enfant du Temple (supposé être
celui de Louis XVII). Cette date marque le début d'une succession de
péripéties et de confusions. En effet Pierre Pelletan, fils légitime
du docteur, habitant à quelques pas de l'archevêché, se rendit sur
place quelques heures après le sac et retrouva la boîte en plomb
abritant le cœur du frère aîné de Louis XVII. Mais c'est le fils
naturel du docteur, Philippe-Gabriel Pelletan, qui, recevant un
paquet d'un certain Lescroart, ouvrier-imprimeur ayant retrouvé sur
les lieux du sac le Mémoire du chirurgien, s'y serait lui aussi
rendu le 6 août suivant, et aurait découvert sur un tas de sable le
cœur de l'enfant du Temple avec les débris de l'urne qui le
contenait. Les deux frères étant brouillés et n'ayant plus aucun
contact depuis la succession de leur père en 1829, Pierre ne sut pas
que Philippe-Gabriel possédait les restes de l'urne, le cœur prélevé
par son père en 1795, ainsi que le Mémoire du docteur. La découverte
de ces deux cœurs après le sac de l'archevêché, par deux personnes
différentes, chacune ignorant la découverte de l'autre, sera à la
source de moult méprises et témoignages contradictoires. On pensa
même longtemps avoir perdu la trace du cœur pourtant retrouvé par
Pierre Pelletan en 1830. Si sa découverte après le pillage est
consignée dans l'Aveyron Républicain daté du 2 décembre 1892,
l'article s'appuie sur un « témoignage paru dans la Gazette Médicale
», sans mention de date ni d'auteur. Les gazettes médicales étant
nombreuses, on ne parvint à retrouver ce témoignage qu'en 2002, dans
la Gazette médicale de Paris de 1891. Lorsque Pierre Pelletan mourut
de tuberculose le 12 août 1845, il avait déjà entrepris des
démarches auprès des Bourbons pour leur céder le cœur qu'il
détenait. Elles furent poursuivies par son fils adoptif Jules, qui
mourut en 1873, laissant un fils qu'il maudissait et un testament
dans lequel on peut lire : « Ma malédiction paternelle lui a été
infligée, et je la confirme ici, dans L'urne remise à don Carlos en
1895, contenant le coeur présumé de Louis XVII. Au fond, morceaux de
l'urne de Pelletan. cet écrit destiné à me survivre ». Le cœur
aurait pourtant finalement été transmis au comte de Chambord (mort
en 1883), si l'on se réfère à une lettre datée du 17 octobre 1885
écrite par le père Bole, confesseur du comte, précisant que ce
Prince avait reçu le cœur du « reliquaire de M. Martin » trouvé par
Pierre Pelletan. Lorsque Philippe-Gabriel Pelletan mourut en 1879,
son exécuteur testamentaire s'adressa à Barrande, administrateur des
biens du comte de Chambord, auquel il transmit l'ancien Mémoire du
docteur Pelletan père, afin de proposer au Prince ce qu'il affirmait
être le « cœur de son cousin ». Barrande répondit que ces «
témoignages sont bien indispensables pour contrebalancer les
impressions fâcheuses causées par les incidents extraordinaires qui
ont troublé la continuité de leur précieux dépôt ». Le comte mourut
en 1883 sans avoir donné son accord pour recevoir le « cœur Pelletan
» de Philippe-Gabriel (mais il possédait celui découvert par
Pierre). C'est seulement en 1895 que don Carlos, neveu de la
comtesse de Chambord, en prit possession, emmenant sans doute l'urne
au château de Frohsdorf, en Autriche, où le comte avait résidé
jusqu'à sa mort. Ainsi, les descendants du comte de Chambord
détenaient à la fin du XIXe siècle les deux cœurs trouvés par les
frères Pelletan : celui du premier Dauphin, et celui de l'enfant
mort au Temple. A la mort de don Carlos en 1909, c'est son fils don
Jaime qui hérita de Frohsdorf et en laissa la propriété lors de son
décès en 1931 à sa troisième sœur Marie-Béatrice. En 1975, les
descendantes de celle-ci décidèrent de donner à la France le cœur
prélevé le 9 juin 1795 sur l'enfant du Temple supposé être Louis
XVII, et l'urne fut remise en avril de cette même année au Mémorial
de France à Saint-Denis. C'est le cœur qu'elle contient, dont on ne
peut affirmer qu'il s'agit de celui que le docteur Pelletan préleva
sur l'enfant du Temple, qui fut analysé en 2000. Notons enfin que
lorsqu'en 1894 furent exhumés les restes de l'enfant mort au Temple
et enterré au cimetière Sainte-Marguerite à Paris, les médecins
affirmèrent qu'il s'agissait d'un enfant d'au moins quatre ans plus
âgé que ne l'était Louis XVII. La preuve que l'enfant mort à la
prison du Temple le 8 juin 1795 était le jeune Louis XVII, n'est
donc toujours pas établie.
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Bilder [ thanks to
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